Qui pourrait penser qu'être intelligent puisse faire souffrir et rendre malheureux ? Pourtant, je reçois souvent en consultation des gens qui se plaignent de trop penser. Ils disent que leur mental ne leur laisse aucun répit, même la nuit. Ils en ont marre de ces doutes, de ces questions, de cette conscience aiguë des choses, de leurs sens trop développés auxquels n'échappe aucun détail. Ils voudraient débrancher leur esprit, mais ils souffrent surtout de se sentir différents, incompris et blessés par le monde d'aujourd'hui. Ils concluent souvent par : " Je ne suis pas de cette planète ! " Ce livre propose des cours de mécanique et de pilotage de ces cerveaux surefficients.
Christel Petitcollin

Nous savions que notre cerveau, enfin.., que nous étions parfois difficiles à comprendre. Nous sommes certainement "surefficients", c'est le terme qu'utilise Christel Petitcollin pour définir les personnes ne se reconnaissent pas dans le terme "surdoué". 
La conférence de cette rentrée 2018 était passionnante : lancer les bases d'une reprise en main d'un cerveau certes puissant mais, parfois, totalement désorganisé.
Le mode d'emploi idéal pour utiliser notre cerveau n'existe pas. Chacun de nous devra donc apprendre durant les premières années de sa vie à en optimiser le fonctionnement. Christel Petitcollin, conseillère et formatrice en communication, psychothérapeute et conférencière nous donne quelques principes très intéressants que vous pouvez retrouver dans son livre : Je pense trop".

Près de 200 personnes étaient présentes dans la salle Galabru vendredi 6 septembre pour ce 3ème rendez vous.
En 2016, 80 personnes étaient présentes pour une conférence sur la douleur. L'année suivante, le thème était "le sommeil à tous les âges et ses pathologies". Une belle réussite pour cette édition 2018. Félicitations aux dirigeants de l'association pour la qualité des conférences proposées chaque année.

Apothéose ! Voilà ce qui pourrait définir ce mois de juillet 2018.
En 1998, la bande à Zizou nous avait propulsé dans les étoiles pour en chercher une, la première !
20 ans plus tard, nous revoilà repartis là-haut, pour y cueillir la deuxième.
Durant ces quatre semaines, une ferveur et un suspense particuliers régnaient à Saturargues.
L’association municipale avait installé son QG au bien nommé « temps de vivre », afin de diffuser quelques matchs.
Mais jour après jour, le bar devint une véritable tribune. A chaque apparition de l’équipe de France, plusieurs dizaines de saturarguois venaient admirer le génie de la bande à Lloris.
Après les rencontres, débriefing oblige, tout ce petit monde restait sur place pour refaire le monde et le match.
Près de 300 repas, moules frites, tacos et autres spécialités qui font du bien au moral du supporter auront été servis en à peine 10 rencontres diffusées. Le saturarguois a bon appétit, c’est connu.
Les bénévoles de l’AMS ont depuis pris quelques semaines d’un repos parfaitement mérité.
Il se passe toujours quelque chose au village, la rentrée s’annonce particulièrement chargée en activités diverses et variées…